réparation de sondes ETORappelez-vous, dans un précédent article de son blog, PRS Healthcare vous a présenté le syndrome du cœur brisé ou appelé aussi le takotsubo. Il s’agit d’une cardiomyopathie qui survient suite à un choc émotionnel inattendu. A l’inverse est-il en revanche possible que l’état amoureux puisse être bénéfique au muscle cardiaque ? Il semblerait que oui… Et c’est même scientifiquement prouvé ! Notre laboratoire expert en réparation de sondes ETO vous explique l’essentiel à savoir.

Le stress comme dénominateur commun

C’est bien connu, le stress est un ennemi du coeur. S’il est trop grand et soudain il peut provoquer un syndrome du cœur brisé. A l’inverse s’il est inexistant tout va bien… Les personnes heureuses en couple et à fortiori les amoureux n’ont rien à craindre sur ce plan-là.

Tout est question d’hormones !

En fait, le sentiment amoureux permet au cerveau de libérer de nombreuses hormones.

Dopamine

En premier lieu, il y a la dopamine : plus connue sous le nom d’hormone du bonheur ou du plaisir. Elle est aussi sécrétée à partir de 30 minutes d’effort physique.

Adrénaline et noradrénaline

Mais ce n’est pas tout. Grâce au sentiment amoureux, le cerveau produit aussi de l’adrénaline et la noradrénaline qui vont accélérer le rythme cardiaque. Hors pathologie, ces hormones sont bénéfiques, car elles permettent à votre cœur de s’entraîner à l’effort.

Ocytocine

Enfin être amoureux aide le cerveau à créer de l’ocytocine. Cette hormone a de nombreux effets. Du côté de la cardiologie et de la lutte contre le stress, elle renforce la confiance.

Etudes

Toutes les études sur le sujet prouvent que ces hormones sont bénéfiques à plus d’un titre. Elles permettent notamment de réduire la pression artérielle.
Pour aller plus loin, une étude du département psychologie de l’Université de l’Etat de New-York démontre que la pression artérielle est meilleure chez les personnes en couple lorsqu’elles sont physiquement ensemble que lorsqu’elles sont séparées l’une de l’autre.
Une autre étude de la Division de la population des Nations Unies met en lumière le lien de cause à effet entre le mariage et la diminution de développer une maladie cardiovasculaire.

Exemple inverse : le divorce

Aux antipodes du mariage, un divorce serait dévastateur pour la cardiologie d’un patient. Et ce n’est pas notre laboratoire de réparation de sondes ETO qui le dit. Selon Matthew E. Dupre professeur à la Faculté de médecine à Durham en Caroline du Nord : «à compter de deux divorces, le risque de crise cardiaque augmente respectivement de 30% chez les hommes et de 70% chez les femmes».