réparation de sonde échographique à LyonIl y a un mois dans notre blog, notre laboratoire expert en réparation de sonde échographique à Lyon, vous informait sur le délai d’attente des IRM en France en 2018. Si la situation « peut être jugée comme insatisfaisante« , aujourd’hui, nous vous proposons de porter votre regard à l’international. En effet l’herbe n’y est pas forcément plus verte. C’est le cas d’ailleurs du Quebec où des solutions inédites sont mises en place afin d’améliorer une situation bien plus compliquée que celle que nous rencontrons.

Des examens de jour… comme de nuit !

Depuis quelques mois, de nombreux hôpitaux du Quebec offrent une possibilité étonnante à leurs patients. Laquelle ? Celle de pouvoir passer un examen de radiologie à toute heure du jour et de la nuit. Vue de l’hexagone, cette démarche semble très étonnante aux yeux de notre laboratoire expert en réparation de sonde échographique à Lyon. Pourtant elle répond à un réel besoin !

Réduire le temps d’attente

Aujourd’hui, en janvier 2019, la problématique du délai d’attente au Quebec s’est étendue à toute l’imagerie médicale. C’est ainsi que plusieurs hôpitaux ont trouvé cette parade… Et cela semble fonctionner ! C’est en tout cas ce qu’explique le Docteur Martin Chandonnet, chef du département de radiologie de l’Hôpital Notre-Dame à Montréal. « «Les examens sont effectués par des technologues qui ont une prime de nuit et les examens sont lus le jour par les radiologistes. On offre aux patients l’option de passer leur examen de nuit ou de jour. La nuit, les délais d’attente sont très courts, ils sont de quelques jours à quelques semaines. De jour, les délais sont de quelques mois. Jusqu’à maintenant, la réaction est très positive et les gens sont très satisfaits« .

Contexte

Le monde de l’échographie québécoise est en pleine crise depuis le 1er janvier 2017. A cette date, le Quebec rend « gratuit n’importe quel examen faisant appel à une sonde échographique« . Le but est alors de réduire le temps d’attente à moins de 2 semaines. Mais le remède se révèle être pire que le mal puisqu’en moins d’un an, en novembre 2017, le délai d’attente moyen passe de 5 à 11 semaines.
Cette crise s’est depuis étendue à l’ensemble de l’imagerie médicale québécoise et notamment au secteur de l’IRM. Ainsi la solution de proposer des examens de radiologie 24h/24 semble déjà porter ses fruits. A situation exceptionnelle, réponse exceptionnelle !