réparation de sondes ETONotre laboratoire expert en réparation de sondes ETO met aujourd’hui en lumière une étude qui prône la pratique du yoga afin de lutter contre la fibrillation atriale. Que faut-il attendre de cette pratique vis-à-vis de ce type de pathologie ? PRS Healthcare vous dit l’essentiel de ce qu’il faut en retenir.

Définition

En cardiologie, la fibrillation atriale (ou fibrillation auriculaire) est un trouble qui provoque deux effets. Le muscle cardiaque bat à la fois plus vite et de façon irrégulière (voir illustration). Ce dysfonctionnement est loin d’être rare. Bien au contraire, c’est même l’anomalie cardiaque la plus fréquente mais aussi la plus complexe car il faut souvent la traiter au cas par cas.

Un trouble complexe

En effet cette pathologie peut se manifester par de l’essoufflement, de la fatigue, des palpitations, des douleurs thoraciques… Les patients atteints de fibrillation atriale peuvent même être asymptomatiques ! Pire «ces symptômes vont et viennent, provoquant de l’anxiété chez de nombreux patients et limitant leur capacité à vivre une vie normale» précise l’équipe de chercheurs à l’origine de l’étude.

L’étude

Méthodologie

Ainsi une équipe de chercheurs du Sawai Man Singh Hospital de Japiur en Inde a eu l’idée d’explorer certaines activités physiques réputées bonnes en cardiologie afin d’atténuer les effets de la fibrillation atriale.
Pour le yoga, ils ont suivi 500 patients atteints de fibrillation atriale durant 16 semaines. Pendant cette première période, ils leur ont demandé de pratiquer une séance de 30 minutes tous les deux jours. Ensuite, durant une seconde période de 12 semaines, les patients devaient arrêter leurs séances de yoga.

Résultats

Les résultats de cette étude ont été présentés lors de la dernière édition de l’ESC Congress 2020. Ils semblent prouver les bienfaits du yoga sur la fibrillation atriale. En effet, durant la première période de 16 semaines, la fréquence des symptômes a été divisée par deux.

La fibrillation atriale en France

Dans l’Hexagone, la fibrillation atriale touche 300 000 personnes. Les facteurs de risques sont essentiellement l’âge et/ou une autre pathologie cardiaque. Mais aussi d’autres syndromes métaboliques comme l’obésité, le diabète, ou la dyslipidémie. La fibrillation atriale est aussi l’un des premiers facteurs de risque d’accident vasculaire cérébral.

Pour mieux comprendre la fibrillation atriale, notre laboratoire expert en réparation de sondes ETO vous invite à regarder la vidéo ci-dessous.